Belle réflexion mais je ne partage pas totalement votre point de vu. Bien sûr l’histoire d’une personne, ses conditionnements, ses programmations vont dessiner la « croyance » de quelque chose donc la confiance fait partie. En prenant de la hauteur la confiance en soi c’est celle qu’on accorde à l’autre, on devient ce père ou cette mère qui donne confiance. C’est le cas du professeur qui va dire à son élève : je crois en toi tu iras loin (alors que les 2 parents n’ont jamais tenus ces propos) et résultant : l’élève est allé très loin, il n’avait pourtant pas confiance en lui mais a fait confiance à l’autre, cet autre qui donne confiance ! Adulte, je dirais que la confiance en soi c’est la confiance en Dieu (ou appelez cela comme vous voulez), un moi supérieur, une force, la lune, le soleil, bref finalement la confiance en quelque chose qui ne porte pas de « mot », qui se vit, qui est au dessus et devinez quoi ? C’est à cet autre, a la connexion à cet espace que l’on accorde sa confiance pour avoir confiance …
Et puis au final, la confiance en soi, c’est un alignement de l’être : ce qu’il est véritablement (pas ce qu’il croit être), sa souveraineté : je crée dans ma vi les expériences que j’ai besoin pour guérir et m’élever vers plus haut, vers plus grand ..
Signé,
L’élève qui n’a jamais eu confiance en lui mais qui un jour s’est entendu dire : tu iras loin !
Ton histoire me fait penser à quelques petits réels entrevus sur IG, sensés montrer la différence entre l’éducation française et l’éducation américaine : des mères a qui leur très jeune enfant montre un dessin, en réalité un gribouillage de son âge; la mère française va faire remarquer à l’enfant ses point de progression éventuels, pour l’orienter vers une meilleure représentation à l’avenir; alors que la mère américaine va s’extasier à loisirs et exposer le dessin comme si c’était une œuvre d’art. Ce type de mise en scène est généralement destiné à montrer que la manière américaine ne met pas de frein à la création et va permettre à ceux qui en auraient la volonté et in fine les compétences, de créer. Alors que la manière française va immédiatement poser des freins : je ne suis pas bon, persévérer ne peut même pas m’amener à la réussite ... Le trait est un peu grossier mais pas forcément faux.
Nul doute que la confiance que l’on accorde à l’autre, et notamment à l’enfant, soit un puissant marche-pied
Alors je ne m’étais jamais fait la réflexion sur la transmission de la confiance entre parent et enfant. C’est intéressant. Je pense que cela se confirme sur ma famille également 🤔
Un regard sincèrement pygmalion porté sur autrui développe radicalement le niveau de confiance de celui ou celle qui le reçoit. Chaque histoire est loin d'être figée ou irréversible dans ce domaine, même lorsqu'un ou deux des parents a foiré en cherchant pourtant à faire de son mieux.
Pas si moche ce pull Missoni by the way ;-) moins doux que ton cachemire marine c'est sûr.
Belle réflexion mais je ne partage pas totalement votre point de vu. Bien sûr l’histoire d’une personne, ses conditionnements, ses programmations vont dessiner la « croyance » de quelque chose donc la confiance fait partie. En prenant de la hauteur la confiance en soi c’est celle qu’on accorde à l’autre, on devient ce père ou cette mère qui donne confiance. C’est le cas du professeur qui va dire à son élève : je crois en toi tu iras loin (alors que les 2 parents n’ont jamais tenus ces propos) et résultant : l’élève est allé très loin, il n’avait pourtant pas confiance en lui mais a fait confiance à l’autre, cet autre qui donne confiance ! Adulte, je dirais que la confiance en soi c’est la confiance en Dieu (ou appelez cela comme vous voulez), un moi supérieur, une force, la lune, le soleil, bref finalement la confiance en quelque chose qui ne porte pas de « mot », qui se vit, qui est au dessus et devinez quoi ? C’est à cet autre, a la connexion à cet espace que l’on accorde sa confiance pour avoir confiance …
Et puis au final, la confiance en soi, c’est un alignement de l’être : ce qu’il est véritablement (pas ce qu’il croit être), sa souveraineté : je crée dans ma vi les expériences que j’ai besoin pour guérir et m’élever vers plus haut, vers plus grand ..
Signé,
L’élève qui n’a jamais eu confiance en lui mais qui un jour s’est entendu dire : tu iras loin !
Tu m'as inspiré confiance, j'ai pas cliqué sur le bouton
Ton histoire me fait penser à quelques petits réels entrevus sur IG, sensés montrer la différence entre l’éducation française et l’éducation américaine : des mères a qui leur très jeune enfant montre un dessin, en réalité un gribouillage de son âge; la mère française va faire remarquer à l’enfant ses point de progression éventuels, pour l’orienter vers une meilleure représentation à l’avenir; alors que la mère américaine va s’extasier à loisirs et exposer le dessin comme si c’était une œuvre d’art. Ce type de mise en scène est généralement destiné à montrer que la manière américaine ne met pas de frein à la création et va permettre à ceux qui en auraient la volonté et in fine les compétences, de créer. Alors que la manière française va immédiatement poser des freins : je ne suis pas bon, persévérer ne peut même pas m’amener à la réussite ... Le trait est un peu grossier mais pas forcément faux.
Nul doute que la confiance que l’on accorde à l’autre, et notamment à l’enfant, soit un puissant marche-pied
Alors je ne m’étais jamais fait la réflexion sur la transmission de la confiance entre parent et enfant. C’est intéressant. Je pense que cela se confirme sur ma famille également 🤔
Un regard sincèrement pygmalion porté sur autrui développe radicalement le niveau de confiance de celui ou celle qui le reçoit. Chaque histoire est loin d'être figée ou irréversible dans ce domaine, même lorsqu'un ou deux des parents a foiré en cherchant pourtant à faire de son mieux.
Pas si moche ce pull Missoni by the way ;-) moins doux que ton cachemire marine c'est sûr.